9 Dangers de l'Ail Pour la Santé à Prendre au Sérieux.

- Les 9 dangers et effets indésirables de l'ail
- 1. L'ail augmente le risque de saignement
- 2. Il donne mauvaise haleine
- 3. Il génère des troubles digestifs
- 4. Il provoque des brûlures d'estomac
- 5. Il donne la diarrhée
- 6. Il peut aussi provoquer des éruptions cutanées
- 7. Il est lié aux migraines
- 8. L'ail est-il sans danger pour les femmes enceintes ?
- 9. Certaines personnes sont allergiques à l'ail
- Combien d’ail peut-on manger sans danger ?
- Peut-on manger le germe de l'ail sans prendre de risque ?
- Et quels sont les dangers de l'ail noir ?
- Et les prétendus bienfaits de l'ail dans l'anus ?
- Par quoi remplacer l’ail dans vos recettes ?
L’ail est considéré comme un aliment aux multiples vertus et est réputé pour ses incroyables bienfaits.
Qu’il s’agisse de l’ail blanc ou de l’ail noir ou encore de l’ail des ours, ses bienfaits sont nombreux.
Mais ce que peu de gens savent, c’est que l’ail cru possède aussi des effets secondaires négatifs.
Ce n’est pas parce que l’ail a des vertus qu’il faut en manger sans modération ou en trop grandes quantités.
À l’excès, la consommation d’ail peut présenter des risques importants pour la santé…
C’est ma nutritionniste à Lille, Danielle Boutin, qui m’a parlé de ses dangers.
Une consommation excessive d’ail risque de provoquer toutes sortes de problèmes de santé :
Diarrhées, lésions du foie, vomissements, nausées, brûlures d’estomac, troubles de la coagulation… Et j’en passe !
Voici les 9 dangers et contre-indications de l’ail pour votre santé. Allez, c’est parti :
Les 9 dangers et effets indésirables de l'ail
Cette plante fait partie de la famille des alliacées.
Oui, en complément à un régime alimentaire équilibré, l’ail est un aliment sain et sans danger.
Il est même réputé pour lutter contre certaines maladies.
Grâce à ses principes actifs, les propriétés de ce condiment sont nombreuses.
- il contribue à lutter contre les maladies cardiovasculaires
- il aide à diminuer le cholestérol
- il limite la tension artérielle
- il aide à améliorer le système immunitaire
- il semble aussi améliorer la pression artérielle
- il est un puissant antioxydant
Les vertus de cette plante sont nombreuses pour la santé. C’est pourquoi il est souvent utilisé en phytothérapie :
- en compléments alimentaires,
- sous forme de poudre
- ou tout simplement en intégrant les gousses d’ail frais dans vos plats.
En revanche, si vous en mangez trop à la fois, il peut entraîner plusieurs effets indésirables.
La consommation d’ail doit également être surveillée chez les enfants et les femmes enceintes, notamment en raison des précautions et contre-indications spécifiques à cette population.
Regardez :
1. L'ail augmente le risque de saignement
Vous prenez des anticoagulants ou vous devez vous faire opérer prochainement ?
Alors, attention, cela fait partie des contre-indications de l’ail qu’il faut vraiment prendre en considération.
La consommation d’ail est déconseillée dans ces cas-là.
Car l’un des effets indésirables les plus graves d’une consommation excessive d’ail est qu’il augmente le risque de saignement.
En effet, l’ail possède des propriétés antithrombotiques.
Dans le jargon médical, ça veut dire qu’il a une action directe sur la coagulation sanguine.
En effet, cette plante fluidifie le sang et empêche la formation de caillots.
C’est pourquoi il est déconseillé de consommer de l’ail si vous prenez un médicament anticoagulant, comme la Coumadine, par exemple.
Dans ce cadre, des interactions médicamenteuses peuvent survenir.
Et il est par conséquent recommandé de demander l’avis d’un pharmacien avant toute prise d’ail en cas de traitement médical.
Et encore plus lorsqu’il s’agit de le manger cru.
Pour les mêmes raisons, on conseille également de ne pas manger d’ail au moins 7 jours avant une intervention chirurgicale.
Eh oui, ça peut paraître bizarre, mais les recherches l’ont prouvé :
L’ail a un effet antiagrégant plaquettaire qui fait qu’il augmente le risque de saignement pendant une opération.
Et si vous êtes atteint de porphyrie, une maladie qui impacte la coagulation sanguine, il ne faut surtout pas manger d’ail : que ce soit de l’ail cru ou de l’ail noir.
2. Il donne mauvaise haleine
Ça, c’est bien connu ! Sa forte odeur est légendaire. Tout le monde sait que l’ail cru donne mauvaise haleine.
L’ail est riche en composés sulfurés, auxquels on attribue la plupart des bienfaits santé.
Seulement, voilà…
Ce sont ces mêmes composés qui sont à l’origine de la mauvaise haleine, surtout lorsqu’on mange de l’ail en grande quantité.
Et quand on écrase son bulbe pour la cuisine, on libère en même temps le dérivé d’un acide aminé, qui s’appelle allicine.
Et c’est pour ça que cette plante sent si fort !
Et peut-être que vous avez remarqué que l’effet mauvaise haleine de l’ail est encore pire si vous le mangez cru ?
Ça, c’est parce que la cuisson diminue sa teneur en composés sulfurés.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions naturelles et efficaces pour lutter contre la mauvaise haleine due à l’ail.
Par exemple, le remède de grand-mère que j’utilise, c’est le persil
D’ailleurs, c’est pour ça que les restaurants en proposent en garniture…
De plus, la consommation d’ail peut entraîner une sueur odorante et provoquer des sensations désagréables dans la bouche ou sur la peau.
3. Il génère des troubles digestifs
La consommation d’ail n’est pas recommandée si vous avez une digestion difficile.
Comme les oignons, les poireaux et les asperges, l’ail est riche en fructanes, une variété de glucides.
Et ça, ce n’est pas anodin :
Les fructanes sont connus pour provoquer des ballonnements, des flatulences et des douleurs d’estomac chez certaines personnes.
De plus, l’ail peut entraîner une irritation de la muqueuse gastrique, ce qui peut causer des désagréments digestifs supplémentaires, comme des brûlures d’estomac ou un inconfort abdominal.
Et que se passe-t-il si vous digérez mal ces fructanes et que justement vous mangez un aliment riche en fructanes ?
Celui-ci n’est pas absorbé par l’intestin grêle.
Au lieu de cela, il continue son chemin, intact, vers le côlon.
Résultat, il fermente dans votre ventre, ce qui bien entendu génère toutes sortes de problèmes digestifs.
Ça concerne surtout les personnes qui suivent un régime pauvre en FODMAP, c’est-à-dire une alimentation avec des repas sans glucides “fermentescibles”.
Dans ce cas, ces personnes sont souvent encouragées à limiter leur consommation d’ail.
4. Il provoque des brûlures d'estomac
Vous souffrez du reflux gastro-œsophagien (RGO) ? C’est une des autres contre-indications de l’ail.
Alors, vous devriez sérieusement songer à réduire votre consommation d’ail.
Pour ceux qui ne connaissent pas, le RGO est le nom médical des brûlures d’estomac, aussi appelées remontées acides.
Il s’agit de remontées de liquide gastrique dans l’œsophage, et elles sont malheureusement assez fréquentes chez les adultes.
Comme on peut l’imaginer, ça provoque toutes sortes de symptômes désagréables, entre autres des brûlures d’estomac et des nausées.
La prise d’ail peut accentuer les sensations de brûlure ou d’inconfort chez les personnes sensibles.
Et quel est le rapport avec l’ail, me diriez-vous ?
Accrochez-vous : celui-ci diminue le tonus du sphincter œsophagien inférieur (SOI).
Heu, pardon ? Je traduis pour vous :
L’ail empêche les muscles au fond de l’œsophage de bien se fermer.
Et donc, d’empêcher ce fameux liquide gastrique de remonter dans l’œsophage.
En revanche, ceux qui souffrent de RGO ne réagissent pas tous de la même manière aux aliments.
Ainsi, si vous n’avez aucun symptôme (remontées acides ou nausées) lorsque vous mangez beaucoup d’ail :
Ça veut dire que ce n’est pas la peine de faire attention outre mesure !
5. Il donne la diarrhée
Ici, c’est parce que les gousses d’ail ont un effet laxatif.
Du coup, une consommation trop importante, c’est-à-dire des quantités élevées d’ail, peut donner la diarrhée.
6. Il peut aussi provoquer des éruptions cutanées
Ça peut paraître surprenant, mais l’ail peut aussi provoquer des irritations de la peau.
Les chercheurs pensent que c’est dû à des enzymes que l’on trouve seulement dans l’ail.
En effet, des chercheurs ont découvert qu’un contact prolongé de l’ail cuisine peut entraîner :
- des éruptions cutanées
- de l’urticaire
- et des démangeaisons de la peau
L’utilisation d’huile ou d’huiles d’ail, notamment sous forme d’huile essentielle ou végétale, peut également causer des irritations cutanées et nécessite donc des précautions particulières.
Il semble que cela soit dû à une réaction au disulfure de dialyse, un des composants de l’ail.
7. Il est lié aux migraines
Certains chercheurs pensent que l’ail pourrait déclencher des migraines, surtout si on le mange cru.
La raison exacte de ce phénomène n’est pas claire.
En fait, ces chercheurs disent que l’ail ne provoque pas directement une migraine.
Mais plutôt qu’il stimule le processus qui en est responsable.
L’activité de certains composés de l’ail pourrait influencer le stress oxydatif, ce qui contribuerait à l’apparition de migraines chez certaines personnes.
L’ail aurait un effet sur le nerf trijumeau, un nerf crânien dont la fonction est de recevoir la sensation de douleur.
Concrètement, manger de l’ail pourrait stimuler ce nerf.
Résultat, le nerf trijumeau libère des signaux vers la membrane qui recouvre le cerveau, ce qui provoque des maux de tête.
8. L'ail est-il sans danger pour les femmes enceintes ?
Bonne question.
Comme vous venez de le voir, manger de l'ail peut aggraver les problèmes auxquels sont confrontées les futures mamans.
Je pense bien entendu aux troubles digestifs : brûlures d'estomac, ballonnements et autres irritations de l'appareil digestif.
De plus, on sait que les composés sulfurés responsables du goût de l'ail passent dans le lait maternel.
Ce qui peut alors avoir un goût désagréable pour le bébé…
Et ce n'est pas tout :
L'ail possède des propriétés anticoagulantes, ce qui augmente le risque de saignements et empêche la coagulation du sang.
C'est pour ça qu'il est déconseillé d'en consommer en grande quantité, surtout vers la fin de la grossesse.
En effet, ça pourrait augmenter le risque d'hémorragie périnatale.
Le problème, c'est qu'il existe très, très peu de recherches scientifiques sur l'ail et les femmes enceintes.
Alors, en cas de doute, n'hésitez pas à demander l'avis de votre médecin.
9. Certaines personnes sont allergiques à l'ail
C'est très, très rare, mais certaines personnes ont une allergie alimentaire à l'ail.
Une recherche a découvert que 1,1% de gens ont une réaction allergique lorsqu'ils en prennent une petite quantité :
Seulement 1/2 cuillère à café d'ail séché par jour.
Une allergie alimentaire peut commencer par une réaction légère à un moment donné.
Et elle peut revenir plus tard, mais avec une réaction grave.
Alors, bon à savoir, je vous ai listé tous les symptômes associés à une allergie alimentaire :
- une toux
- du mal à avaler
- des vertiges
- des crampes d'estomac
- une sensation de picotements, surtout autour de la bouche
- des vomissements
- des troubles respiratoires et, plus rarement, de l'asthme
Dans les cas les plus graves, une allergie à l'ail peut même déclencher un choc anaphylactique.
C'est-à-dire un gonflement de la gorge qui empêche l'air de passer.
Combien d’ail peut-on manger sans danger ?
Eh non, malheureusement, il n’existe pas de recommandation officielle sur la bonne quantité d’ail à manger…
Cependant, si vous voulez profiter de ses bienfaits santé, les études indiquent qu’il ne faut pas dépasser les 6 g par jour.
Ce qui, à vue de nez, représente 1 à 2 gousses d’ail par jour.
Les quantités recommandées peuvent varier selon les formes d’ail consommées (frais, poudre, extrait) et la base utilisée dans les compléments ou préparations.
Vous pouvez donc utiliser cette quantité à titre indicatif lorsque vous faites à manger.
Si vous envisagez une cure d’ail, il est conseillé de ne pas la prolonger sans avis médical.
Et si, lorsque vous dépassez cette quantité, vous remarquez des effets indésirables, alors il est peut-être temps de réduire votre consommation…
Et bon à savoir :
La cuisson de l’ail réduit considérablement la plupart des dangers et effets indésirables mentionnés ci-dessus.
Y compris, la mauvaise haleine, les troubles digestifs et les remontées acides.
Peut-on manger le germe de l'ail sans prendre de risque ?
Le germe de l'ail a une mauvaise réputation.
En effet, beaucoup de gens disent qu'il est toxique et qu'il faut enlever les germes avant de manger de l'ail.
Mais en réalité, il peut être consommé en toute sécurité.
Alors, non, il n'est pas toxique. Et il ne vous rendra pas malade non plus.
En revanche, beaucoup de personnes ont du mal à digérer l'ail.
Et ce, avec ou sans germe.
Du coup, là, c'est vrai que retirer le germe aide à adoucir le goût de l'ail et à le rendre plus digeste.
Et quels sont les dangers de l'ail noir ?
En France, on consomme surtout les variétés d’ail blanc, rose ou violet.
Mais qu’en est-il de l’ail noir très apprécié en Asie ?
Il existe sous différentes formes : gousses entières, extraits, ou compléments alimentaires.
Pour ceux qui ne connaissent pas :
L’ail noir est une base d’ail transformée, obtenue par un processus de vieillissement et d’oxydation contrôlé, qui permet de développer ses propriétés nutritionnelles.
Résultat, il prend une couleur noire, un goût sucré et moins piquant, et une texture similaire à celle d’un pruneau d’Agen.
Attention, la préparation maison de l’ail noir peut présenter un risque de toxine botulique si le processus n’est pas maîtrisé, notamment à cause de la bactérie Clostridium.
L’avantage de l’ail noir ?
C’est qu’il ne possède pas les effets indésirables de l’ail classique.
De plus, il est riche en s allyl cystéine : c’est une molécule qui le rend plus digeste et inodore.
En effet, il ne provoque pas de troubles digestifs ou de mauvaise haleine.
Des études suggèrent que l’ail noir pourrait jouer un rôle dans la prévention du cancer, des cancers gastro-intestinaux et des troubles de la prostate, grâce à ses propriétés antioxydantes.
En revanche, comme l’ail blanc, il fluidifie le sang et peut entraîner des interactions médicamenteuses, notamment avec les médicaments anticoagulants.
Et les prétendus bienfaits de l'ail dans l'anus ?
Eh oui, en faisant des recherches sur Internet, vous risquez de tomber sur un remède de grand-mère très surprenant.
En effet, certains blogs préconisent l’utilisation de l’ail… en suppositoire !
Par exemple, les adeptes de cette astuce vous diront que mettre de l’ail haché sur les hémorroïdes a un effet anti-inflammatoire.
Ou encore :
Insérer une gousse d’ail dans l’anus permettrait de se débarrasser des oxyures, un parasite intestinal.
Certains disent même que mettre de l’ail en suppositoire dans le rectum permettrait de faire grossir les fessiers.
N’importe quoi !
Par acquit de conscience, j’ai fait des recherches :
Et, bien évidemment, il n’existe aucune étude scientifique à l’appui de l’utilisation de l’ail en suppositoire.
Il est important de rappeler que l’utilisation de l’ail en suppositoire n’est pas recommandée dans le cadre médical et comporte des risques importants, notamment d’irritations, de brûlures ou d’infections.
Un remède de grand-mère à éviter, donc…
Par quoi remplacer l’ail dans vos recettes ?
Un dernier truc :
Si vous ne supportez pas l’ail, n’oubliez pas qu’il existe de nombreux substituts riches en saveurs.
L’ail est souvent utilisé dans les soupes pour ses qualités gustatives et ses bienfaits pour la santé ; pensez à adapter vos recettes de soupes avec d’autres ingrédients.
Je vous conseille d’utiliser d’autres herbes et épices, comme le poivre, le fenouil, le raifort ou le gingembre.
Sources :
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- Nall, R. (2018). Can you have a garlic allergy ? Medical News Today. https://www.medicalnewstoday.com/articles/321702
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Source : National Center for Complementary and Integrative Health
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